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Violences conjugales et violences judiciaires

Christelle, victime de violences de son père policier

7 ans de procédures : la justice à l’envers

Suite au message d’une internaute, nous publions ci-dessous le résumé d’une affaire dans laquelle il semblerait qu’un mari violent, "dangereux pervers" mais néanmoins policier..., ait, avec l’aide de "la justice française", réussi à enlevé à sa mère un enfant, la petite Christelle, et ce malgré de nombreux documents témoignant des violences conjugales subies par sa mère.

Nous vous laissons juger par vous même...

Pour plus d’informations sur cette affaire, consulter le site SOS Enfant Christelle..

Ci-dessous le résumé de l’affaire tel que raconté par la maman :

enfantchristelle.sosblog.fr Mis en ligne par Bruno
Mots clés (Tags): Europe Justice Police

•26 avril 2001 : Demande en divorce pour fautes de Mme MM contre M. Cyrille Boulin (lieutenant de police à B. 91) pour protéger le bébé des violences, sur conseils des médecins révélant la psychose du père, qui serait un dangereux pervers mental – 19 mois de mariage seulement.

L’enfant Christelle a 1 an et demi.

•12 juin 2001 à 9h : visite-surprise du commandant TOCARD au domicile de Mme M pour la menacer de lui faire enlever son bébé « par un juge de ses connaissances du TGI si elle poursuit ses plaintes pour violences conjugales contre un OPJ » (il s’agit du juge Corrompu, haï par tous les avocats et aujourd’hui muté à C. 94 comme juge d’instruction, au secours !). Ce dernier est dénoncé par les services sociaux comme auteur de jugements totalement contraires aux intérêts des enfants. Les gens parlent de lui comme atteint de graves problèmes mentaux. Plus tard Mme M apprendra qu’il y a eu échanges de services et que ce juge visait à entrer à haut niveau dans certain réseau.

Les faits de menaces d’enlèvement et de fautes policières sont dénoncés par avocat au Procureur le 15 juin 2001.

Mutation du commandant de police par l’IGPN en 2002 pour ses nombreuses magouilles dans la région. Les policiers sous ses ordres intimidaient les voisins témoins des violences par un porte-à-porte dans le quartier pour les dissuader de témoigner. Ces témoins ne seront jamais convoqués (3 témoignages courageux dénoncent).

•Même jour 12 juin 2001 à 20h : départ forcé (par hiérarchie) de l’agresseur du domicile conjugal accompagné de 3 policiers. Il se trahit devant eux et assène de violents coups au dos et à la tête de Mme M qui tient le bébé dans les bras et qui s’évanouit. ITT 8 jours s’ajoutant aux nombreux certificats médicaux antérieurs, dont l’étranglement du 19 mai 2001 avec écrasement de cartilage.

Il n’est pas arrêté malgré les coups et les insultes sous leurs yeux.

Après avoir dévalisé la maison sous protection de ces 3 policiers, il jure qu’il « fera enfermer Mme M ».

Tout ceci est répété dans le rapport policier du 13 juin 2001, écrit par obligation sur ordre d’un autre commandant.

Dès ce moment l’agresseur manipule tous les commissariats et dépose des fausses plaintes avec des faux témoignages, la harcèle de procédures avec une avocate de l’Essonne connue jusqu’à Paris pour ses agissements frauduleux.

Ordonnance de Non-conciliation du 6 juillet 2001 : résidence de l’enfant chez la mère, attribution de la maison commune (indivision post-communautaire, achetée avant mariage grâce aux économies de Mme M) + pensions alimentaires que Cyrille BOULIN refuse de payer, et qu’il fera ensuite supprimer par « audiences d’incidents » avec l’aide de M. Corrompu et Mlle Peinard (prête-nom derrière lequel se cache Corrompu en cas de plainte devant le CSM), JAF remplaçants depuis fin 2003.

Premier abandon d’avocate qui refuse d’assigner en divorce dans les délais afin d’inverser le divorce pour fautes. Aberration : c’est l’agresseur condamné pour violences qui demande le divorce pour fautes contre sa victime, à cause de la trahison de cette avocate qui conseillait à Mme M de s’enfuir à l’étranger avec le bébé “car elle est confrontée à un réseau très dangereux”. Ceci lui a été conseillé à la sortie de l’entretien particulier de l’avocate dans le bureau du juge Corrompu.

•Septembre 2001 : première condamnation de Cyrille BOULIN pour violences conjugales par le Tribunal Correctionnel : 4 mois de prison avec sursis. Cyrille BOULIN décrira à l’audience ses problèmes psychiatriques : « bourdonnements d’oreilles, perte de connaissance et violence incontrôlée ». Confirmation de condamnation par la Cour d’Appel le 25 septembre 2003 avec augmentation des dommages-intérêts.

Refus de payer les D-I. Saisie de BMW par les huissiers pour l’y obliger.

Point-rencontre sous surveillance d’éducateurs pour visites de Cyrille BOULIN à l’enfant, 2 samedis par mois, durant presque 3 ans jusqu’au jugement de divorce du 22 avril 2004.

Derrière le dos des surveillants, il arrivera même à donner une gifle à l’enfant qui le surnommera toujours « PAPABOBO » (Cf. Rapport social et attestation institutrice)

•18 octobre 2001 : Première convocation de Mme M par le juge Corrompu, qui la menace sans la présence d’aucun greffier : ses pièces seront toujours écartées, ses arguments se retourneront contre elle, elle sera prise pour une « fragile psychologique », il est inutile qu’elle se batte, etc...etc... (ce qui confirme que les procédures sont truquées avec beaucoup de corruption)

Après-midi du même jour : récidive de violences importante avec vol du camescope et menaces de mort, ITT 12 jours et hospitalisations de la mère et de l’enfant, puis IPP.

DISPARITION du dossier de plainte du 23 octobre 2001.

•Novembre 2002 : Première expertise gardant la résidence de l’enfant chez la mère et demandant la poursuite des visites en lieu neutre.

Le rapport précise : « Cyrille BOULIN convient que leur fille se trouve « bien chez sa mère »...

Les adversaires très mécontents demandent une contre-expertise avec l’expert qu’ils ont choisi dans leur département, qui montrera ouvertement à Mme M son parti-pris pour l’agresseur et ne l’écoutera pas.

•Novembre 2003 : fausse expertise concluant au retrait de la garde de l’enfant de 4 ans pour être remis au parent maltraitant (dont la condamnation pour violences vient juste d’être confirmée le 25 septembre), avec des faux motifs se basant sur des hypothèses dans l’avenir (Mme M pourrait plus tard faire des entraves aux relations paternelles, selon soupçon de S.A.P., « mais nous n’en sommes pas encore là » précise-t-il). LIRE : http://contrelesap.canalblog.com/

•5 mars 2004 pour Cour d’Appel des juges d’enfants : Enquête sociale de Seine-et-Marne favorable à Mme M, rendue après la clôture prématurée du divorce (12 février 2004, décision de Corrompu et Peinard). Ce rapport décrit ses capacités maternelles et le bien-être de l’enfant dans sa maison natale de Combs-la-Ville, et conclut à la poursuite du point-rencontre pour le père : rapport ignoré par les JAF : le jugement de divorce applique les menaces reçues et enlève la garde de l’enfant à Mme M en se basant uniquement sur la fausse contre-expertise, malgré les affaires pénales en cours et les attestations médicales témoignant de l’équilibre psychologique indéniable de la mère.

Ce jugement du 22 avril 2004 est entièrement diffamatoire et se base aussi sur deux faux témoignages jamais communiqués contradictoirement, pour pouvoir attribuer à Mme M un grief de « diffamation ».

L’enfant Christelle est arrachée à sa mère à la sortie de l’école, le 27 mai 2004, pour être mise volontairement en situation de danger, alors que le divorce était justement demandé pour protéger l’enfant des violences.

•Juin 2004 : seconde condamnation de Cyrille BOULIN pour sa récidive de violences du 18 octobre 2001 par citation directe suite à la disparition du dossier (Tribunal Correctionnel ).

Dès ce moment, les violences se reportent sur l’enfant.

Signalements de l’école de Yerres, y compris pour négligences corporelles, vestimentaires, hygiène, et vu les plaintes de l’enfant des coups de son père et de ses grands-parents.

Multiples certificats médicaux relatant les violences et maltraitances avec enfermements à la cave, ligotages sur une chaise, coups sur la tête, humiliations diverses, rasage des cheveux, etc... Constatations médicales de traces de coups.

Multiples témoignages des parents fréquentant l’école, de l’entourage, de la famille, des voisins…

L’agresseur refuse de se soumettre aux convocations du Conseil Général suite aux signalements, et menace l’enfant de la mettre en prison si elle parle.

Multiples plaintes de Mme M auprès des commissariats, des gendarmeries, audition filmée, plaintes auprès de juges d’instructions, nombreuses démarches, …

Promesses des policiers du 77 de convocation de la Brigade des Mineurs : aucune nouvelle.

Les plaintes disparaissent mystérieusement, comme celles pour récidives de violences conjugales (18 octobre 2001 et 8 juin 2004). Tous les procureurs font la sourde oreille. Tous les dossiers sont renvoyés sur TGI d’Evry pour y être enterrés.

Courriers multiples au Gouvernement (M. PERBEN, M. SARKOZY, M. et Mme CHIRAC, les Ministères concernés, les Sénateurs, Députés, « Défenseur des Enfants » qui attribue un numéro de dossier sans aucune intervention). Toutes les réponses expriment poliment l’impossibilité d’intervenir, ce qui est incroyable, puisque Cyrille BOULIN obtient tout ce qu’il demande aux tribunaux et commet de nombreux délits en toute impunité, y compris non-présentations d’enfant et entraves aux relations maternelles.

Un gros dossier existe au Ministère de la Justice depuis 2001 : “l’affaire Boulin" (source d’avocat)

Plus tard en 2007 lors d’une énième convocation de ripoux pour l’accabler, Mme M aura la confirmation que son téléphone est mis sur écoutes par l’instruction-même où elle envoie ses plaintes !!!

Ses agresseurs et le réseau en général, qu’elle dénonce preuves à l’appui, ont-ils été mis eux aussi sur écoutes pour être démasqués ? La juge rencontrée est-elle indépendante ?

Le département de l’Essonne, s’ajoutant à celui de Seine-et-Marne, organise la disparition des preuves, notamment par un faux « rapport de psychologue » (réquisitionnée pour autre motif que celui des plaintes par une substitut du parquet d’Evry à l’insu de Mme M !) ; seul l’agresseur est convoqué par la psychologue, qui ne relate que ses propos !!! A aucun moment elle n’interroge l’enfant sur les graves violences subies, mais sur des questions vicieuses sans rapport avec les plaintes.

Puis tous les jugements et arrêts au civil répèteront les termes de ce faux rapport pour accuser la mère, et au pénal relaxer injustement l’auteur des violences conjugales en récidive (Arrêt de Cour d’Appel février 2005) qui avait été condamné pour la seconde fois en juin 2004.

La victime est obligée de rembourser les seconds dommages-intérêts à son agresseur récidiviste.

Les répercussions des anomalies et irrégularités procédurales du TGI d’Evry sont catastrophiques sur toutes les autres procédures.

•Le 5 octobre 2005 la Cour d’Appel ordonne une troisième expertise.

•Le 17 janvier 2006 les services sociaux d’AEMO, pour se couvrir en cas d’accident grave, demandent à la juge d’enfants d’Evry Mme Cruelladon le retrait de la garde au père car ils ont les preuves des violences et maltraitances. Cependant au lieu de demander la restitution à la mère irréprochable (mais qui réside dans un autre département) ils demandent un placement… En effet si l’enfant était restituée à la mère en Seine-et-Marne, ils perdraient le dossier en Essonne et les subventions de l’Etat.

Refus de la juge Cruelladon qui prend toujours le parti de l’agresseur et le convoque séparément la veille des audiences (violation du contradictoire) avant d’écrire des jugements complètement faux et truffés de signes de reconnaissance pour que les recours soient déboutés (procès truqués, preuve de réseau).

Puis ces mêmes services sociaux d’Evry, qui avaient demandé le retrait de l’enfant au père, ne répèteront pas les mêmes termes à l’expert de Cour d’Appel qui les contacte (même association O. Spitzer).

Jamais ils n’évoqueront les maltraitances auprès de l’Expert ; au contraire ils mentent et accusent Mme M des griefs de Cyrille BOULIN pour faire pression sur l’expert... Versions différentes.

•Mai 2006 : 37 pages d’expertise concluent au retour de l’enfant Christelle chez sa mère et précise que la directrice d’école n’était pas joignable (auteur du premier signalement et renvoyée de l’école).

Il est relevé le désir de marchandage de Cyrille BOULIN (prêt à laisser la garde de l’enfant contre vente de la maison) et sa façon de prendre l’enfant en otage pour s’en servir contre la mère.

Son "entourloupe" du tribunal en novembre 2003 est signalée aussi, Cyrille BOULIN s’étant engagé à payer l’emprunt immobilier total en échange de la suppression de la PA au titre du devoir de secours, due à Mme M. Bien sûr il ne payera plus rien, mais les JAF Corrompu et Peinard (prête-nom derrière lequel se cache Corrompu en cas de plainte devant le CSM) ont encore accepté toutes ses demandes, et l’appel de Mme M ne donnera lieu à aucune fixation d’audience !

L’entretien particulier avec l’enfant est retranscrit par l’expert en 3 pages. Certaines violences sont relatées, ainsi que l’abandon du père auprès des garderies, études, centres de loisirs, cantines, puisqu’il n’a pas le temps de s’en occuper, contrairement à Mme M, toujours disponible pour son enfant.

On sait aujourd’hui que l’enfant passe même des soirées au commissariat.

Des pressions de Cyrille BOULIN sur l’enfant avant expertise sont répétées également.

L’Expert révèle enfin que Cyrille BOULIN, en tant que policier, avoue travailler en permanence avec les magistrats d’Evry (ce qui explique le blocage des dossiers, le favoritisme affiché et les disparitions mystérieuses).

Il y a donc réellement suspicion légitime et aucune neutralité en Essonne.

•Rentrée 2006 : changement de présidente de Cour d’Appel (Mme Corbeau), qui refuse de suivre l’expertise et rend un arrêt aberrant, le 22 novembre 2006, répétant tous les mensonges, et aucun élément du dossier.

On laisse l’enfant dans la même situation de maltraitances.

En outre on voudrait que Mme M, RMIste et intérimaire, qui fréquente le Secours Populaire et bénéficie de secours d’urgence à cause du harcèlement procédurier, paye 100 euros mensuels de P.A. à l’agresseur, qui roule en BMW et a des ressources 10 fois plus élevées que les siennes.

Déboutée aussi de sa demande de prestation compensatoire et de l’arriéré de PA impayée depuis novembre 2003.

Pour cela on fait croire, comme en première instance, que Mme M n’aurait pas fourni les preuves de ses ressources et de sa précarité, alors qu’elles sont numérotées dans le bordereau de pièces et régulièrement communiquées. Au contraire c’est l’adversaire qui a toujours refusé de fournir ses ressources et avis d’imposition, malgré les multiples sommations de communiquer de l’avoué de Mme M.

C’est la justice à l’envers.

Pire encore : on recommande vivement à Mme M d’arrêter d’emmener son enfant chez les médecins si elle veut garder de bonnes relations avec, et on l’accuse de maltraitances psychologiques, exactement comme l’écrit la juge d’enfant Cruelladon dans ses faux jugements. Preuve supplémentaire que le réseau s’étend sur Paris.

Il s’avère que les certificats médicaux de constatations de maltraitances sont très gênants pour les tribunaux et cours d’appels, les juges d’enfants, les tribunaux correctionnels, les procureurs, etc... On les écarte systématiquement : c’est la mère qui est maltraitante pour les soins qu’elle apporte à son enfant !

Deux Cassations en cours sur le divorce que la Cour d’Appel a voulu séparer en deux parties (aspect financier + garde enfant) afin d’épuiser Mme M sur tous les plans.

De nombreux moyens et vices de forme sont évoqués. Selon l’Avocat en cassation, Mme M est victime de « dysfonctionnements graves ».

•Premier débouté le 22 mai 2007 : Mme M est spoliée financièrement. Après le vol de son enfant, c’est le vol de son argent et de ses biens. Une véritable escroquerie organisée.

•Depuis 6 ans 1/2 : harcèlement de procédures, de convocations intempestives dans les commissariats et gendarmeries, convocations inutiles dans les tribunaux pour enfants et les services sociaux qui écrivent des rapports toujours mensongers afin de justifier leur intervention (SAE puis SSEE Evry), vol de son RMI par saisie illégale sur son CCP, enfermements arbitraires pour participer aux violences conjugales et détruire sa santé, harcèlement d’audiences empêchant Mme M de trouver un travail fixe et à temps complet (dernier poste au Secrétariat de la Présidence du Sénat).

•Arrêt maladie depuis le 2 décembre 2006.

Impossible de vivre normalement à cause de l’injustice et des abandons successifs d’avocats qui, même payés, obligent Mme M à faire leur travail. Aucun avocat ne veut la défendre pour cause de trafic d’influence. Tous dissuadés par l’avocate adverse qui les menace un à un (une plainte avec CPC est déposée contre elle pour escroquerie aux jugements et d’autres motifs graves).

•L’enfant Christelle a de nouveau perdu sa joie de vivre depuis le 22 novembre 2006.

Voici + de 3 ans qu’elle a été brutalement arrachée à sa mère, qui l’élevait depuis sa naissance à temps complet et avait demandé le divorce pour la protéger... pour être livrée par les tribunaux eux-mêmes, à l’âge de 4 ans et demi, au parent condamné pour violences.

Deux documents « Etat de l’enfant depuis l’arrachement à sa mère » et « Paroles de l’enfant » sont scrupuleusement tenus à jour.

•Avril 2007 : tentative de médiation par Mme M suite aux aveux de Cyrille BOULIN à l’expert « de vouloir marchander son enfant ». Cyrille BOULIN ne répondra même pas à la lettre-convocation du médiateur qui déclare à celle-ci « c’est comme cela qu’on voit qui est le véritable harceleur ».

•21 avril 2007 : SIGNALEMENT MEDICAL en province pour enfant maltraité

•5 mai 2007 : Certificat médical Urgences Hôpital de Quincy ITT10 j. + autre certificat demandant expressément l’éloignement de l’agresseur en attendant les mesures d’urgence (qui ne viendront jamais).

Dès cette période la persécution s’amplifie : Mme M est attaquée par un véritable réseau de ripoux qui ne se cachent plus et fabriquent des faux dossiers d’accusations pour le TGI, la harcèlent de convocations jusqu’à les coller sur sa porte d’entrée, donnent des grands coups dans sa porte pour terroriser l’enfant et la mère, et l’enferment en garde-à-vue pour la seconde fois à la place de l’agresseur !

A nouveau Mme M a l’impression de se retrouver chez les nazis : privation de médicaments, refus d’un verre d’eau contre signature, crise de spasmophilie, appel des pompiers par les gardiens à 3h du matin, urgences de l’hôpital en ambulance...

Pendant ce temps l’enfant est témoin des remerciements mutuels entre l’agresseur Boulin et les « ripoux qui lui rendent son souffre-douleurs ».

Dégradation significative de santé de Mme M.

Nouveaux dossiers au plus haut niveau du Gouvernement, y compris Ministère de l’Intérieur et de la Justice, tous deux en cours d’enquête. Mme M reçoit deux courriers lui recommandant de porter plainte contre les policiers.

Plus tard Mme M apprend qu’une audience correctionnelle a été organisée sans même la convoquer, alors qu’elle est en arrêt-maladie et que sa demande d’avocat est bloquée ; elle apprend avec horreur qu’elle aurait été condamnée à 1 mois de prison avec sursis à la place de l’agresseur, sans pouvoir se défendre. Le TGI refusera même sa LRAR d’opposition à condamnation par défaut en prétendant qu’il s’agit d’un « contradictoire ».

APPEL

•19 juin 2007 : l’agresseur Boulin dans le cadre des violences conjugales économiques, fait saisir les maigres allocations logement de la CAF de Mme M pour une pension alimentaire qu’elle ne peut payer, alors qu’il roule en BMW et perçoit des ressources 10 fois plus élevées. En outre il refuse d’acheter le nécessaire à l’enfant, y compris fournitures scolaires et vêtements. C’est toujours la maman qui est en charge effective de son enfant.

•21 août 2007 : plainte en province suite à signalement médical et seconde audition filmée par les policiers avec accord du Procureur (vu les disparitions des dossiers de plaintes en Essonne et diverses magouilles dénoncées). Cette plainte sera transférée comme les autres sur Evry 91, en septembre 2007, et disparaîtra comme les précédentes puisque l’agresseur travaille directement avec le parquet d’Evry...

•Septembre 2007 : Nouveau signalement d’assistante sociale, pour enfant victime.

Christelle, qui a grandi, écrit des lettres de dénonciation, notamment à M. Sarkozy pour la sauver. Elle a retenu le numéro de téléphone de sa maman par coeur.

•3 octobre 2007 : L’enfant Christelle laisse des messages de cris et de pleurs à sa mère. Cyrille BOULIN coupe complètement les lignes. Intervention policière de nuit. Témoins téléphoniques. Nouvelles violences sur enfant et traces de coups qu’elle dénoncera par écrit.

Dès ce jour empêchements de relations téléphoniques par Cyrille BOULIN (3 appels en tout et pour tout depuis 3 ans 1/2).

A chaque retour à l’école (1er et 3ème lundi) l’enfant s’accroche à sa mère en criant. Elle refuse de rentrer en classe devant tous les élèves. Elle a de plus en plus peur de son « père ». On trouve dans son sac d’école des dessins alarmants : en noir et rouge un enfant se fait tuer par un adulte ; elle précise qu’elle a « peur que son père lui enfonce un couteau dans elle ». Elle dessine aussi un enfant derrière des barreaux de prison, et dit que ça la représente lorsqu’elle est chez lui.

Nouvelle demande de signalement de Mme M à l’école (complice de violences/maltraitances, coupable de non-assistance à mineure en danger et de faux témoignage à l’expert en accord avec les services sociaux).

•Du 30 octobre au 9 novembre : nouvelles plaintes en gendarmeries suite aux refus des commissariats.

Cyrille BOULIN menace Christelle « de ne plus jamais revoir sa mère si elle continue à écrire dans ses cahiers

JE VEUX REVEUNIR AVEC MAMAN ».

Appel de SOS Médecins, certificat de repos de 3 jours « chez la mère », ce qui est inapplicable avec un pervers.

Malgré l’arrêt-maladie et le mot de Mme M dans le cahier de liaison, il remet l’enfant à l’école de force (défaut de soins suite).

Les demandes de désignations d’avocats pour audiences d’urgence en référé ou pour requêtes en suspicion légitime restent bloquées, ou alors les avocats désignés par les BAJ se désistent, toujours aussi énigmatiques.

•19 novembre 2007 : Renseignements pris anonymement au parquet mineurs , Mme M a le droit de garder son enfant malade lorsqu’un certificat médical est établi. C’est une ancienne JAF qui lui répond. La conversation est confirmée par écrit « pour laisser une trace ».

•Lundi 3 décembre 2007 : Pendant la visite de SOS Médecins, de grands coups retentissent dans la porte. C’est un groupe de policiers venus voir « pourquoi l’enfant n’est pas à l’école » (!). A la sortie du médecin, Mme M leur remet une copie du certificat d’arrêt-maladie, puisqu’ils disent venir de Moizycrado et de la part de....

A midi ils reviennent et frappent encore plus violemment dans la porte, terrorisant l’enfant. Ils crient « police ouvrez » comme s’il y avait des forcenés ou des grands criminels dans la maison.

Après-midi : Mme M décide d’emmener au TGI l’enfant Christelle, de plus en plus traumatisée et empêchée de se reposer comme le préconise le certificat, afin de voir directement le magistrat qui envoie ces policiers. Un procureur les conduit au parquet mineurs. Surprise : on dément avoir envoyé qui que ce soit à son domicile, précisant « qu’ils le sauraient forcément puisque cela passe par eux ». Enfant témoin de ces paroles.

•Mardi 4 décembre 2007 : le médecin traitant, au vu de l’état de l’enfant, prolonge d’une journée. Il est prévu que Christelle revienne à l’école jeudi matin. RV est pris avec l’expert psychiatre qui suit l’enfant et sa mère, lequel entend les pleurs de l’enfant dans le Cabinet du médecin-traitant qui appelle pour rendez-vous.

•5 décembre 2007 à 9h40 : Enfoncement de la porte d’entrée avec des grands cris d’un groupe de ripoux. L’avocate de Mme M lui recommande au téléphone de ne pas leur répondre « et qu’ils cessent ce harcèlement s’ils tiennent à leur place car plainte a déjà été déposée contre eux en gendarmerie ». Peine perdue, le groupe de ripoux pénètre dans la maison de façon extrêmement violente et monte vers la chambre ; ils menacent de tirer sur Mme M et son enfant, puis avec des insultes et des hurlements de fous (Mme Bourrée : « Vous êtes une mère torturante ! ») arrachent l’enfant qui s’aggripe à sa mère en leur criant qu’elle a peur de son père. Mais les ripoux sont au-dessus des lois.

•5-6 décembre 2007 : Mme M est mise en garde-à-vue et torturée sans avoir commis aucune faute. L’enfant dénonce son père en audition mais ce n’est pas le coupable qu’on arrête. Privation de tous les droits de la victime, y compris la visite d’un avocat. Privation de médicaments, de nourriture et d’eau, privation de médecin alors qu’elle a une forte migraine ; menaces de coups si elle ne signe pas leurs faux PV ; envoi (comme en 2001) au service psychiatrique pour tenter de la faire passer pour folle ; le psychiatre espère qu’elle n’ait pas signé le faux PV qu’il a sous les yeux ; voyant qu’elle est malade et affamée, il lui fait venir un plate-repas à 22h, lui assurant qu’elle ressortirait de garde-à-vue le lendemain matin. Erreur, prolongation de 24h le lendemain par Sadini, aussi méchant et vicieux que Bourrée ; tortures et maltraitances, insultes, menaces, manques de respect, menottes trop serrées, traitement d’un innocent comme un grand criminel ; perquisition injustifiée : vol sous couvert de légalité. Ils salissent et abîment tout, et volent le carnet de santé de l’enfant, non pas pour mise sous scellés mais pour remettre à l’agresseur Boulin qui ne soigne jamais l’enfant. Les services sociaux avaient reconnu à la mère le droit de garder ce carnet de santé puisque c’est elle qui fait faire les vaccins et qui l’a sur sa sécurité sociale. Les « délinquants déguisés en policiers » disent en fouillant que cela les arrangerait de « trouver une petite boule de chit ». Ils reprochent même à Mme M de garder les affaires de bébé, et expriment le souhait qu’elle abandonne son enfant et « passe à autre chose » ; vol également d’affaires personnelles et confidentielles sans aucun rapport avec le litige. Subitement elle les voit s’arrêter sur un dossier vide où est inscrit le nom du Cdt TOCARD, celui qui menaçait Mme M de lui faire enlever son enfant. Ce dossier ne sera pas restitué avec les autres. Il y a donc un doute sur l’instigateur de ces faits totalement répréhensibles, malgré sa mutation à Paris par l’IGPN en 2002.

A 17h30 Mme M est envoyée au Parquet avec girophares et menottes, comme si elle avait commis un crime, devant la substitut Mme Chouette, qui lui remet une convocation pour le 11 janvier 2008, en lui faisant promettre de laisser à l’avenir son enfant malade à l’école, et l’écrit sur la convocation en précisant « nous savons que vous n’êtes pas d’accord ». Ils attendent visiblement un grave accident... ou pire.

•7 décembre 2007 : Certificat de blessures et choc psychologique pour Mme M, traumatisée, prolongation d’arrêt maladie, puis arrêt longue-maladie, reconnu par la sécurité sociale (ALD).

•8 décembre 2007 : Vol durant la nuit du 7 au 8 de plusieurs appareils, les policiers ayant gardé un double de clé.

•11 décembre 2007 : Plainte en gendarmerie pour « vol et maltraitances policières ».

•21 décembre 2007 : Lettre du barreau refusant tout avocat à Mme M sous prétexte de grève depuis le 17 décembre, alors que sa demande date du 11 décembre.

•7 janvier 2008 : Lettre de menace d’huissier de « saisie-vente des meubles » pour l’escroquerie de l’avoué adverse réclamant à Mme M. 2000 euros d’honoraires (malgré l’AJ totale en appel et la cassation en cours). Non seulement on lui vole son enfant, non seulement la CA refuse de suivre le rapport d’expertise et laisse l’enfant dans les maltraitances, non seulement on la torture illégalement dans des souterrains sur instigation de l’agresseur conjugal, mais en outre on veut lui voler ses meubles et ses affaires... et bientôt sa maison.

•9 janvier 2008 : Suite au faux dossier d’accusation de « non-présentation d’enfant » Mme M dépose « le vrai dossier » au Procureur et à la Présidente. Le greffe lui refuse la consultation du dossier monté par les ripoux. Un autre « vrai dossier suite » sera déposé le 19 mars.

•11 janvier 2008 : audience reportée, malgré la lourde insistance de l’agresseur qui se fait passer pour la victime et dit même « qu’elle a été déférée » et « que l’affaire est simple ». La juge le contredit, et l’informe « que Mme M a commencé à se défendre ». Personne n’évoque ses violences sur enfant, donnant lieu à l’incroyable condamnation de la maman protectrice en novembre, ce malgré toutes les preuves de ses demandes de protection urgente aux différentes juridictions. Mme M fait remarquer qu’elle n’avait reçu aucune convocation pour l’audience de novembre. Le Procureur plaide l’accord de renvoi puisque Mme M a droit à un avocat. La juge donne un indice par cette phrase « le procureur est pressé de faire cette audience depuis le départ » (pourquoi ?). Parallèlement on n’est pas pressé de poursuivre les vrais délits avec récidives du vrai coupable...

A l’audience de report du 21 mars, ce n’est tout à coup plus la même juge : c’est le juge du 16 novembre qui l’avait condamnée sans convocation ! Il reproche à Mme M le refus du BAJ de lui désigner un avocat, malgré ses preuves de relances, et reporte toutes les fautes sur elle. L’avocat qu’elle avait trouvé s’est désisté en février... non sans lui avoir révélé « que les procureurs en ont marre de son combat pour récupérer son enfant et la condamneront de plus en plus souvent » (! !) Les tribunaux seraient donc bien un moyen pour se débarrasser des personnes gênantes. Ce juge montre clairement son parti-pris, empêchant même le procureur (témoin le 3 décembre que Mme M n’était pas en tort) de plaider en lui rappelant « que le parquet est indivisible » (! ?) Il écoute religieusement l’auteur des violences sur enfant et sa mère, et coupe la parole à Mme M en l’humiliant devant toute la salle. Il lui impose une expertise psychiatrique (la 6ème) sur demande de l’adversaire. Report au 16 mai 2008. L’expert (incompétent puisque témoin de violences conjugales, et déjà désisté en 2001 ) envoie une convocation durant les vacances de Mme M avec son enfant. Aucune date possible.

Procédure de récusation du juge par Mme M. Le 16 mai, refus du BAJ de désigner un avocat. Nouvelle condamnation d’un innocent (Mme M) à la place du coupable. APPEL avec récusation en cours.

Les dossiers adressés au Ministère de la Justice depuis juin 2007 ont été renvoyés au Procureur de la République via le Procureur Général de la Cour d’Appel dont un Parquet serait saisi. Cependant ce procureur général répond, aux Parlementaires intéressés par l’affaire, par des diffamations odieuses contre Mme M et montre un étonnant parti-pris pour l’adversaire Boulin.

•18 janvier 2008 : Mme M reçoit une convocation d’une Juge d’Instruction inconnue (Mme Intègre) pour le 4 février 2008 sur réquisitoire du Procureur de la République lui-même, qui désire ré-ouvrir « pour raison de conflit » une ancienne fausse plainte de l’agresseur d’août 2006 classée sans suite ! ; convocation extrêmement choquante qui la menace de « mise en examen » à la place de l’agresseur alors qu’elle n’a commis aucun délit !!! (la JI a annulé cette mise en examen, aucune charge n’existant contre Mme M).

C’est ce Procureur qui reçoit régulièrement depuis 2002 les dossiers d’abus de pouvoirs retransmis de l’IGPN, organisme qui répond toujours à Mme M que seul le Procureur est habilité à les saisir.

En plus Mme M reçoit une autre convocation pour le 20 février 2008 devant le TC comme « prévenue » en tant que victime de violences conjugales avec ITT de 12 jours, parce que le dossier de plainte initiale du 23 octobre 2001 a mystérieusement disparu et que l’agresseur a déposé plainte, grâce à ses collègues-ripoux, pour « dénonciation calomnieuse ». Report au 21 mai 2008 puisque les désignations d’avocats sont bloquées.

Aucun avocat ne sera désigné, avec encore refus de report d’audience. Exception de nullité invoquée. Remise de conclusions avec demande reconventionnelle pour procédure abusive. Délibéré : 750euros d’amende délictuelle avec sursis, condamnation de la victime au lieu de l’agresseur. Appel en cours.

•23 janvier 2008 : La Cour de Cassation casse le second Arrêt de Cour d’Appel du 22 novembre 2006 (sur la garde de l’enfant, arrêt qui refusait de suivre l’avis de l’Expert qu’elle avait elle-même désigné).

+ d’infos :

http://enfantchristelle.sosblog.fr/



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1 Message
  • Christelle, victime de violences de son père policier 13 janvier 2010 08:47, par marie931

    Bonjour !

    Quelle est la suite de ce phénomène ?Et la mère, comment va -t-elle ?Ainsi que l’enfant ?Et que faire dans ce cas là ?

    Merci pour vos infos,je suis maman d’un petit de 2 ans 1/2 ,j’ai peur d’éventuels violences perverses à l’école sur mon fils et j’aimerais connaître le mode opératoire de conduite à tenir dans ces cas précis ?
    Merci