Négation de la Shoah, négation du génocide des arméniens, négation de la complicité de l’état français dans le génocide des Tutsis...
Les nouvelles sociétés négationistes et criminelles
Régression criminelle des sociétés négationistes
De la négation de la Shoah, à la négation du génocide des arméniens, à la négation de la complicité de l’état français dans le génocide des Tutsis au Rwanda, il est possible d’ écrire qu’aujourd’hui, à cette heure, les sociétés tentent de prendre le pli du négationisme officiel : tel celui qui a endormi les français à propos de Vichy et que " la pitié et le chagrin", censuré plus de 10 ans, revélait.
Mis en ligne par
Mots clés (Tags): Armée Europe Racisme Rwanda Soudan
A l’heure, cependant, des nouvelles orientations de la Cour pénale internationale, qui prend de droit et avec le soutien des citoyens libres, son plein rôle fondateur, pierre angulaire de la Justice internationale, il est encore possible d’écrire que, les preuves et témoignages prendront désormais acte au nom du droit international, et sont par conséquent, défaits de tout l’impact négationiste des "souverainetées nationales" : puisque des mandats d’arrestation des criminels génocidaires du gouvernement criminel du Soudan, aux ministres criminels de l’état français de 1994 complices de crimes contre l’humanité lors du génocides Tutsis au Rwanda, tous seront jugés. Ainsi, la responsabilité des états de droits et des citoyens prend une nouvelle force, dont chacun d’entre nous, tous et toutes , sommes les responsables, devant nos actes comme devant nos droits, en conscience, en liberté, et en pleine connaissance des faits et des dossiers instruits désormais. Si l’on se rappelle du témoignage, repris dans Shoah, du délégué du gouvernement polonais interrogé par 2 membres du Bund, à cette heure, ces hommes s’engageaient envers et contre tous, dans la conscience de leur acte, bien que tout semble perdu. Qu’aujourd’hui, dans les heures sombres qui s’abattent encore sur les enfants et les femmes , au Soudan, et devant le mépris intolérable des "responsables" apparentés de diplomatie criminelle, rien ne peut empêcher un citoyen libre, au nom du droit international, d’acter juridiquement auprès de la Cour pénale internationale pour demander une instruction qui, quoiqu’il en fut, quoiqu’il en a été, quoique les criminels nient, sera instruite. Il n’est pas seulement question de responsabilité, il est question d’éthique appliquée au nom des droits et des libertés de tous et de chacun, chacune d’entre nous tous ensemble, de refuser les négationismes et de produire des contre pouvoir qui arrêtent la régression criminelle de ces sociétés négationistes. A bon entendeur, de bons actes.
Tous seront jugés...